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martes, junio 05, 2007

DR CONGO Bulletin (CPJ condemns police assault on journalists during media group meeting)

RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO: Le CPJ condamne la dispersion violente d'une réunion d'un groupe de média
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DEMOCRATIC REPUBLIC OF CONGO: CPJ condemns police assault on journalists during media group meeting

IFEX - Nouvelles de la communauté internationale de défense de la liberté
d'expression
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MISE À JOUR - RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO

Le 5 juin 2007

Le CPJ condamne la dispersion violente d'une réunion d'un groupe de média

SOURCE: Comité pour la protection des journalistes (CPJ), New York

**Mise à jour d'une alerte de l'IFEX du 1er juin 2007**

(CPJ/IFEX) - Ci-dessous, un communiqué de presse du CPJ daté du 1er juin
2007:

Le CPJ: En RDC, la police disperse la réunion d'un groupe de média et
violente des journalistes

New York, le 1er juin 2007 - Un journaliste a été hospitalisé aujourd'hui après que la police de la ville d'exploitation diamantaire de Mbuji-Mayi au centre de la République Démocratique du Congo ait dispersé une assemblée générale d'un important groupe de média congolais ce jeudi. La police est
en effet intervenue, violentant des douzaines de journalistes et saisissant des effets personnels, selon l'organisation pour la liberté de la presse Journaliste en Danger (JED) et des journalistes locaux.

François Luboya, l'animateur d'une émission d'éducation civique hebdomadaire sur la station religieuse Radio Mont Carmel (RMC), a eu les côtes cassées après que six officiers l'aient battu avec la crosse de leur arme, a-t-il déclaré depuis l'hôpital au CPJ. Plusieurs journalistes, dont le reporter de Radio Okapi Emmanuel Elamenji et le caméraman de RMC Fiston Lutumba, ont perdu leur téléphone portable et leur matériel d'enregistrement après qu'ils aient été attaqués, selon des sources locales. Luboya a été agressé alors qu'il tentait d'intervenir, a affirmé
un témoin.

Les journalistes étaient 125 à assister à la réunion d'une branche locale de l'Union Nationale de la Presse du Congo (UNPC) quand la police a assailli le rassemblement, selon JED et des journalistes locaux. L'UNPC, une association professionnelle mandatée pour délivrer des cartes de presse aux journalistes congolais, est le plus ancien groupe de média de la RDC.
La réunion avait pour but de résoudre un contentieux interne avec le président provincial de l'UNPC, en rapport avec son rôle dans la récente uspension du média local la Radio-Télévision Debout Kasaî, selon les mêmes sources.

La trésorière de l'UNPC Anne Marie Kasenga a déclaré au CPJ que des agents de renseignements lui avaient sommée de les suivre à leurs bureaux avant la réunion, mais qu'elle avait refusé parce qu'ils n'avaient pas d'ordres écrits.

"Nous condamnons cette descente policière, et nous sommes inquiets de voir que les autorités du Kasaï oriental restreignent le travail des journalistes. Ces actions contredisent directement les affirmations du nouveau gouvernement de la RDC selon lesquelles la liberté de la presse est respectée", déclare Joël Simon, le directeur exécutif du CPJ. "Nous appelons les autorités à mener une investigation complète et transparente sur cette attaque et à permettre aux journalistes du Kasaï oriental de travailler librement sans crainte des représailles".

Durant une réunion avec les responsables locaux de l'UNPC, plus tard ce jeudi, le gouverneur de la province du Kasaï oriental, Ngoyi Kasanji, s'est engagé à mener une enquête sur cet incident, ont déclaré des journalistes indépendants et Kasenga au CPJ.

Le Kasaï oriental a été la scène d'un grand nombre de violations de droits par les forces de sécurité, selon un rapport émis en avril par la mission des Nations Unies en RDC. Par ailleurs, le CPJ a nommé le mois dernier la RDC l'un des pays les plus rétrogrades au monde en matière de liberté de la presse.

Le CPJ est une organisation indépendante à but non-lucratif fondée en 1981 afin d'observer et d'enquêter sur les abus commis contre la presse et promouvoir la liberté de celle-ci à travers le monde.

Pour tout renseignement complémentaire, veuillez contacter Mohamed Keita, CPJ, 330 Seventh Ave., New York, NY 10001, États-Unis, tél: +1 212 465 1004, téléc: +1 212 465 9568, courrier électronique: africaprogram@cpj.org,
Internet:
http://www.cpj.org

Le CPJ est responsable de toute information contenue dans cette mise à jour. En citant cette information, prière de bien vouloir l'attribuer au CPJ.
___________________________

USÉ(E) PAR LE SECRÉTARIAT DU RÉSEAU IFEX
L'ÉCHANGE INTERNATIONAL DE LA LIBERTÉ D'EXPRESSION
555, rue Richmond Ouest, Bureau 1101, B.P. 407
Toronto (Ontario) M5V 3B1 Canada
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IFEX - News from the international freedom of expression community
_________________________________

ATE - DEMOCRATIC REPUBLIC OF CONGO

5 June 2007

CPJ condemns police assault on journalists during media group meeting

SOURCE: Committee to Protect Journalists (CPJ), New York

**Updates IFEX alert of 1 June 2007; please note that in the previous alert François Luboya was referred to as "Luboya Nokia"**

(CPJ/IFEX) - The following is a 1 June 2007 CPJ press release:

In DRC, police disrupt media group meeting, assault journalists

New York, June 1, 2007 - A journalist remained hospitalized today after police in the central diamond mining town of Mbuji-Mayi disrupted an official meeting of a prominent Congolese media group on Thursday, assaulting dozens of journalists and seizing personal items, according to the press freedom group Journaliste en Danger (JED) and local journalists.

François Luboya, the host of a weekly civic education program on religious station Radio Mont Carmel (RMC), suffered broken ribs after six officers beat him with rifle butts, he told CPJ from the hospital. Several journalists, including Radio Okapi reporter Emmanuel Elamenji and RMC cameraman Fiston Lutumba, lost their mobile phones and recording equipment after being attacked, according to local sources. Luboya was assaulted when he sought to intervene, witnesses said.

The journalists were among 125 attending a meeting of the local chapter of the Congolese National Press Union (known by its French acronym as UNPC) when police stormed the gathering, according to JED and local journalists. UNPC, a professional association mandated to deliver press cards for Congolese journalists, is the oldest media group in the DRC. The meeting was to resolve an internal dispute with the UNPC's provincial president in connection with his role in the recent suspension of local broadcaster Radiotélévision Debout Kasaï, according to the same sources

(http://www.cpj.org/news/2007/africa/drc23may07na.html ).

UNPC treasurer Anne Marie Kasenga told CPJ that intelligence agents summoned her for questioning prior to the group's meeting, but she refused because they had no written orders.

"We condemn this police attack, and we're troubled that authorities in Eastern Kasaï are curtailing the work of journalists. These actions directly contradict the assertions of the DRC's new government that press freedom is respected," CPJ Executive Director Joel Simon said. "We call on the authorities to conduct a full and transparent investigation into this attack and to allow journalists in Eastern Kasaï to work freely without fear of reprisal."

In a meeting with local UNPC officials later Thursday, Eastern Kasaï Gov.
Ngoyi Kasanji pledged to conduct an investigation into the incident, freelance journalist and Kasenga told CPJ.

Eastern Kasaï was the scene of a large number of rights violations by security forces, according to a report released in April by the United Nations mission in DRC. Last month, CPJ named the DRC one of the world's worst backsliders on press freedom
http://www.cpj.org/backsliders/index.html

CPJ is a New York-based, independent, nonprofit organization that works to safeguard press freedom worldwide. For more information, visit
http://www.cpj.org

For further information, contact Research Associate Mohamed Keita at CPJ, 330 Seventh Ave., New York, NY 10001, U.S.A., tel: +1 212 465 1004, fax: +1212 465 9568, e-mail: africaprogram@cpj.org, Internet: http://www.cpj.org/

The information contained in this update is the sole responsibility of CPJ.
In citing this material for broadcast or publication, please credit CPJ.
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Código latinoamericano de ética periodística, por FELAP

Corina Ríos

Código latinoamericano de ética periodística Federación Latinoamericana de Periodistas (FELAP)

Preámbulo.

La información concebida como bien social concierne a toda sociedad a la que corresponde establecer normas morales que rijan la responsabilidad de los medios de comunicación colectiva.

La resolución 59 (I) de la asamblea general de las naciones unidas, adoptada en 1946, expresa: " la libertad de información requiere como elementos indispensables la voluntad y capacidad de usar y no abusar de sus privilegios. Requiere, como disciplina básica, la obligación moral de investigar los hechos sin perjuicio y difundir las informaciones sin intención maliciosa.

Los esfuerzos por estatuir una normativa ética universal han avanzado el la XX Asamblea General de la UNESCO al aprobar la declaración especial relativa a la responsabilidad de los medios de fusión masiva, cuyo artículo VIII manifiesta: "las organizaciones profesionales, así como las personas que participan en la formación profesional de los periodistas y demás agentes de los grandes medios de comunicación que les ayudan a desempeñar sus tareas de manera responsable, deberían acordar particular importancia a los principios de la presente declaración en los Códigos deontológicos que establezcan y por cuya aplicación velan".

El periodista, en su condición de intermediario profesional, es factor importante del proceso informativo y su ética profesional estará orientada al desempeño correcto de su oficio, así como a contribuir a eliminar o reducir las actuales deformaciones de las funciones sociales informativas. Ello se hace imprescindible porque en la región los empresarios de la noticia usurpan nuestro nombre autodenominándose "periodistas" y aplican una pseudo ética regida por los preceptos del provecho comercial.

Las normas deontológicas estatuidas en este documento se basan en principios contenidos en códigos nacionales, en declaraciones y resoluciones de la ONU y sus organismos, como también en la Declaración de Principios de la Federación Latinoamericana de Periodistas (Felap) y que proclaman:


La libertad de prensa la concibe como el derecho de nuestros pueblos a ser oportuna y verazmente informados y a expresar sus opiniones sin otras restricciones que las impuestas por los mismos intereses de los pueblos.
Declara que el periodista tiene responsabilidad política e ideológica derivada de la naturaleza de su profesión, que influye en la conciencia e las masas, y que esa responsabilidad es insoslayable y constituye la esencia de su función social.

La Felap está consciente de las dificultades en la aplicación de una normativa deontológica en los marcos del sistema informativo vigente regido por la tenencia privada de los medios, y la conversión de la noticia en mercancía. Considera la conciencia moral como una de las formas de conciencia social, producto histórico concreto, determinado por la estructura económica, por lo que es mutable y en cada caso prevalecen las normas de los sectores dominantes.

La Felap está convencida de la existencia del progreso moral y de que con la sucesión de etapas históricas la humanidad ha logrado e impuesto puntos de vista éticos que expresan intereses comunes y son válidos para el género humano. Segura, asimismo de que la libertad moral individual sólo es posible con la toma de conciencia sobre los intereses sociales la Felap opina que la ética profesional debe ser conquistada dentro de la batalla para alcanzar en nuestras naciones un periodismo auténticamente libre.
En la certidumbre de que una moral profesional coadyuvará a ese objetivo la Felap proclama el siguiente Código Latinoamericano de Ética Periodística:

Artículo 1 - El periodismo debe ser un servicio de interés colectivo, con funciones eminentemente sociales dirigidas al desarrollo integral del individuo y de la comunidad. El periodista debe participar activamente en la transformación social orientada al perfeccionamiento democrático de la sociedad; y consagrar su conciencia y quehacer profesional a promover el respecto a las libertades y a los derechos humanos.

Artículo 2 - El periodismo debe contribuir al fortalecimiento de la paz, la coexistencia, la autodeterminación de los pueblos, el desarme, la distensión internacional y la comprensión mutua entre todos los pueblos del mundo; luchar por la igualdad de los seres humanos sin distinción de raza, opinión, origen, lenguaje, religión o nacionalidad. Es un deber ineludible del periodista latinoamericano contribuir a la independencia económica, política y cultural de nuestras naciones y pueblos, y al establecimiento de un Nuevo Orden Económico Internacional y de la descolonización de la información.

Artículo 3 - Son además deberes imperativos del periodista: Impulsar, consolidar y defender la libertad de expresión y el derecho a la información, entendido éste como el derecho que tienen los pueblos a informar y a ser informados. Promover las condiciones para el establecimiento del flujo libre y equilibrado de las naciones en los niveles mundial, regional y nacional.

Luchar por un nuevo orden informativo acorde con los intereses de los pueblos que sustituya al que actualmente impera en la mayoría de los países de Latinoamérica deformando su realidad.

Pugnar por la democratización de la información a fin de que el periodista ejerza su misión de mediador profesional y agente del cambio social y de que la colectividad tenga acceso a esa misma información.

Rechazar la propaganda de inevitabilidad de la guerra, la amenaza y el uso de la fuerza en los conflictos internacionales.

Artículo 4 - En su labor profesional el periodista adoptará los principios de la veracidad y de la ecuanimidad y faltará a la ética cuando silencie, falsee o tergiverse los hechos, proporcionará al público información sobre el contexto de los sucesos y acerca de las opiniones que sobre ellos se emitan a fin de que el perceptor del mensaje noticioso pueda interpretar el origen y la perspectiva de los hechos. En la difusión de ideas y opiniones el periodista preconizará las condiciones para que ellas puedan expresarse democráticamente y no sean coartadas por intereses comerciales, publicitarios o de otra naturaleza.

Artículo 5 - El periodista es responsable por sus informaciones y opiniones, aceptará la existencia de los derechos de réplica y respetará el secreto profesional relativo a sus fuentes.

Artículo 6 - El periodista debe ejercer su labor en los marcos de la integridad y la dignidad propias de la profesión, exigirá respeto a sus creencias, ideas u opiniones lo mismo que al material informativo que entrega a sus fuente de trabajo, luchará por el acceso a la toma de decisiones en los medios en que trabaje. En el respecto legal procurará el establecimiento de estatutos jurídicos que consagren los derechos y deberes profesionales.

Artículo 7 - Son acciones violatorias de la ética profesional: El plagio y el irrespeto a la propiedad intelectual. El soborno, el cohecho y la extorsión. La omisión de información de interés colectivo. La difamación y la injuria. El sensacionalismo.

Artículo 8 - Se considera una violación en alto grado de la ética profesional la participación o complicidad de periodistas en la represión a la prensa y a los trabajadores de la información.

Artículo 9 - El periodista debe fortalecer la organización y la unidad sindical o gremial ahí donde existan y contribuir a crearlas donde no las haya y se vinculará al movimiento de la clase trabajadora de su país.

Artículo 10 - El periodista debe procurar el mejor conocimiento y velar por la defensa de los valores nacionales especialmente por la lengua como expresión cultural y como factor general de las nuevas formas de cultura.

Artículo 11 - Es un deber del periodista contribuir a la defensa de la naturaleza y denunciar los hechos que generen la contaminación y destrucción del ambiente. Este Código Latinoamericano de Ética Periodística entra en vigor en el momento de su aprobación por el II Congreso Latinoamericano de Periodistas. Como se aprecia a simple vista el texto trascrito es hijo de su tiempo al periodista se le exige mucho compromiso político explicito. Por otra parte los resultados de encuesta de la FELAP de 1985 demuestran que el estado prepotente de los propietarios de los medios informativos no ha cambiado en la mayor parte de los países iberoamericanos es la actitud de la UNESCO frente a la colegiación obligatoria de los periodistas, que tan fuertes raíces habían echado en Latinoamérica.

Mensajes enviados bajo la protección del Articulo 19 de la Declaración de derechos humanos, el cual estipula: Articulo 19. Todo individuo tiene derecho a la libertad de opinión y expresión; este derecho incluye el de no ser molestado a causa de sus opiniones, el de investigar y recibir informaciones y opiniones, y el de difundirlas, sin limitación de fronteras, por cualquier medio de expresión. Declaración Universal de los Derechos humanos, adoptada por la Asamblea General de las Naciones Unidas el 10 de Diciembre de 1948 en Paris.

Boletín de titulares de Periodistas-es

Fecha: 05-06-2007

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Hora: 6:12:06

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BRASIL:
LA FEDERACIÓN NACIONAL DE PERIODISTAS INFORMA SOBRE LA VIOLENCIA CONTRA LA PRENSA EN BRASIL

http://www.periodistas-es.org/pes/artigo.asp?cod_artigo=1204

VENEZUELA:
AMNISTÍA INTERNACIONAL PREOCUPADA POR LA VIOLENCIA EN LA CONFRONTACIÓN POR RADIO CARACAS TELEVISIÓN

http://www.periodistas-es.org/pes/artigo.asp?cod_artigo=1203

ESPAÑA HASTA 22 JULIO 2007:
CUENCA ABRE SUS PUERTAS A PHOTOESPAÑA CON SEIS EXPOSICIONES DE FOTOGRAFÍA Y VÍDEO

http://www.periodistas-es.org/pes/artigo.asp?cod_artigo=1202

AMÉRICAS:
CRECIENTE PREOCUPACIÓN POR LA CONCENTRACIÓN Y LAS BARRERAS PARA EL ACCESO A FRECUENCIAS DE RADIO Y TV EN LOS PAÍSES AMERICANOS

http://www.periodistas-es.org/pes/artigo.asp?cod_artigo=1201

EN ESPAÑOL:
RAMÓN IRIGOYEN CONDECORADO EN EGIPTO POR LA UNIVERSIDAD DEL VALLE DEL SUR

http://www.periodistas-es.org/pes/artigo.asp?cod_artigo=1200

ESPAÑA:
LA REALIDAD : UNA 'ORQUESTADA' BATERÍA DE DEMANDAS ARRUINA A SU ANTIGUO DIRECTOR A LOS SEIS AÑOS DE DESAPARECER

http://www.periodistas-es.org/pes/artigo.asp?cod_artigo=1199

lunes, junio 04, 2007

REPORTE 395 - OBSERVATORIO LATINOAMERICANO PARA LA LIBERTAD DE EXPRESION - 04 de junio 2007

Editado por: Equipo de Redacción OLA
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04de junio 2007

HONDURAS
CPJ PROTESTA POR IMPOSICIÓN PRESIDENCIAL DE PROGRAMACIÓN A LOS MEDIOS
El Comité para la Protección de los Periodistas (CPJ, por sus siglas en inglés) sentó su protesta ante el presidente de Honduras, José Manuel Zelaya Rosales, por su imposición a los medios audiovisuales y radiofónicos de programar espacios con contenidos pro gobierno.
CPJ indicó que "usted anunció que todas las estaciones de radio y televisión en Honduras deberían transmitir de manera simultánea entrevistas y conversaciones con funcionarios públicos con el fin de "contrarrestar la desinformación de los medios" sobre la gestión de su gobierno durante los últimos 17 meses".
"Periodistas y defensores de la libertad de prensa hondureños consideran que su orden contradice el Artículo 74 de la Constitución de Honduras, según el cual "no se puede restringir el derecho de emisión del pensamiento por vías o medios indirectos, tales como el abuso de controles oficiales o particulares del material usado para la impresión de periódicos; de las frecuencias o de enseres o aparatos usados para difundir la información", concretó la carta que el mencionado organismo le dirigió al mandatario.
"Lo instamos a respetar el derecho constitucional de los hondureños a la libre expresión y a mostrar tolerancia ante puntos de vista que difieren a los de su administración. Le pedimos, por ende, que anule su decisión. Gracias por su atención a este asunto urgente. Esperamos su respuesta", finalizó el CPJ.

MUNDO- AMÉRICA LATINA
DESDE NOVIEMBRE DEL 2006 HASTA EL MOMENTO HAN ASESINADO A CERCA DE 60 PERIODISTAS

Aproximadamente 60 fueron los periodistas asesinados en los últimos meses, y la persecución de periodistas por "traición" y "extremismo" está en aumento, de acuerdo con un informe emitido hoy por la Asociación Mundial de Periódicos (AMP).
El informe anual de mitad de año sobre la libertad de prensa de la AMP, con sede en París, describe un panorama sombrío de ataques, detenciones y asesinato para los periodistas de muchos países en vísperas del Congreso Mundial de Periódicos y el Foro Mundial de Editores en Ciudad del Cabo, Sudáfrica.
"Los últimos seis meses presentaron una tasa muy alta de muertes de periodistas y profesionales de los medios, asesinados en y fuera de zonas de conflicto", señala el informe.
De todas formas, "una impunidad casi total prevalece en el mundo y sobre todo en América Central y América Latina, pero también en Irak, sumida en la guerra, y Rusia", agrega.

PANAMÁ
200 PERIODISTAS PROTESTARON ANTE LA OEA POR CIERRRE DE RCTV
Unos 200 periodistas panameños y venezolanos protestaron hoy frente al Centro de Convenciones Atlapa, sede de las sesiones de la Asamblea General de la OEA, contra el cierre de Radio Caracas Televisión (RCTV) por parte el gobierno del presidente Hugo Chávez.
La actividad fue organizada por el Colegio Nacional de Periodistas (CONAPE) y respaldada por reporteros de prensa, radio y televisión locales, incluyendo los directores de noticias de dos importantes medios impresos, además de periodistas venezolanos.
Portando pancartas que pedían la reapertura de RCTV, otra que le pedía a Hugo Chávez que no silenciara a Venezuela y una, de 150 metros de largo, que pedía "Libertad de Expresión" en japonés, francés, italiano, portugués, alemán, chino, árabe, coreano y español.
Minutos antes de la manifestación, el vicecanciller venezolano, Vladimir Villegas, había defendido la decisión de su gobierno.

Esta información es responsabilidad del Observatorio Latinoamericano para la Libertad de Expresión de la Federación Latinoamericana de Trabajadores de la Comunicación Social (FELATRACS).
Para mayor información agradeceremos contactarnos vía e-mail:
felatracs@felatracs.org
; web: www.felatracs.org o a los teléfonos: (51 1) 4270687, fax (51 1) 4278493

sábado, junio 02, 2007

Newsletter O Jornalista

Cinco anos sem Tim Lopes

Há cinco anos, Tim Lopes foi brutalmente assassinado por traficantes quando fazia reportagens sobre exploração sexual de menores em bailes funks promovidos por traficantes, no Complexo do Alemão no Rio de Janeiro (RJ).
Avenida Tim Lopes
Neste fim de semana, dois eventos marcam as homenagens a Tim Lopes, assassinado no dia 2 de junho de 2002. Hoje ocorreu o ato simbólico de inauguração da Avenida Tim Lopes, na Barra da Tijuca, na cidade maravilhosa.
Missa
Amanhã, domingo (03), às 10h00, será celebrada missa na Igreja da Penha, em memória de Tim.
Cinco anos sem Tim Lopes
Há cinco anos, Tim Lopes foi brutalmente assassinado por traficantes quando fazia reportagens sobre exploração sexual de menores em bailes funks promovidos por traficantes, no Complexo do Alemão no Rio de Janeiro (RJ).

Há cinco anos, Tim Lopes foi brutalmente assassinado por traficantes quando fazia reportagens sobre exploração sexual de menores em bailes funks promovidos por traficantes, no Complexo do Alemão no Rio de Janeiro (RJ).

Avenida Tim Lopes
Neste fim de semana, dois eventos marcam as homenagens a Tim Lopes, assassinado no dia 2 de junho de 2002. Hoje ocorreu o ato simbólico de inauguração da Avenida Tim Lopes, na Barra da Tijuca, na cidade maravilhosa.
Missa
Amanhã, domingo (03), às 10h00, será celebrada missa na Igreja da Penha, em memória de Tim.

Cinco anos sem Tim Lopes
Há cinco anos, Tim Lopes foi brutalmente assassinado por traficantes quando fazia reportagens sobre exploração sexual de menores em bailes funks promovidos por traficantes, no Complexo do Alemão no Rio de Janeiro (RJ).
Avenida Tim Lopes
Neste fim de semana, dois eventos marcam as homenagens a Tim Lopes, assassinado no dia 2 de junho de 2002. Hoje ocorreu o ato simbólico de inauguração da Avenida Tim Lopes, na Barra da Tijuca, na cidade maravilhosa.
Missa Amanhã, domingo (03), às 10h00, será celebrada missa na Igreja da Penha, em memória de Tim.

Boletín de titulares de Periodistas-es

Fecha: 02-06-2007
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Hora: 6:10:13
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IRAQ:
ASESINADO EN BAGDAD UN REPORTERO DE ASSOCIATED PRESS
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ECUADOR:
PREOCUPACIÓN POR LA POSIBLE CONDENA A UN PERIODISTA ECUATORIANO POR "INJURIAS Y CALUMNIA"
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AUTORIDAD PALESTINA:
EL EJÉRCITO DEL ISLAM DIFUNDE UN VÍDEO DE ALAN JOHNSTON PARA PEDIR UN INTERCAMBIO DE DETENIDOS
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IRAQ:
RSF PIDE CREAR UNA FUERZA ESPECIAL PARA INVESTIGAR LOS ASESINATOS DE PERIODISTAS EN IRAQ
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AUDIENCIAS TV EN ESPAÑA:
TELECINCO CONSOLIDA SU LIDERAZGO TELEVISIVO EN UN MES DE MAYO EN QUE CUATRO ALCANZA UN NUEVO RÉCORD MENSUAL
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PERIODISTAS:
LE MONDE DESTITUYE A JEAN MARIE COLOMBANI
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ESPAÑA:
ROSALÍA SÁNCHEZ NUEVA SUBDIRECTORA DEL PROGRAMA "LA MAÑANA" DE LA COPE
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CUBA:
LAS AUTORIDADES CARCELARIAS CUBANAS CENSURAN LAS COMUNICACIONES TELEFÓNICAS DE RAIMUNDO PERDIGÓN BRITO
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ECUADOR:
EL GOBIERNO DE ECUADOR PROMUEVE SU PRIMERA TELEVISIÓN ESTATAL
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ESPAÑA:
EL PAÍS-AGUILAR CONVOCA SU CONCURSO DE RELATOS DE VIAJE
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PERIODISTAS:
LA ASOCIACIÓN DE PERIODISTAS DE CASTELLÓN RECHAZA LAS AMENAZAS DEL PRESIDENTE DE LA DIPUTACIÓN CARLOS FABRA
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BRUSELAS:
27-30 DE JUNIO 2007LAS NUEVAS GENERACIONES DE PERIODISTAS EN EL PARLAMENTO EUROPEO

TV digital

Georgina Carlos geo_r_gina@yahoo.es

Fecha: 02-jun-2007
Hora: 5:00

Peligra television digital en Estados Unidos
http://www.satellite-keys.net/content/view/222/2/

Brasil se aisla tecnologicamente en la Television de America Latina.

http://www.satellite-keys.net/content/view/217/2/

La television digital en America creara una jungla si no se selecciona el estandar ATSC de Estados Unidos.

http://www.satellite-keys.net/content/view/218/2/

Lanzan un canal de televisión por internet para "hombres hambrientos"
http://www.eldigitalcastillalamancha.es/articulos.asp?idarticulo=15828

Georgina Carlos Panana – Periodista

celular: 98432783 – RPM: ·#900051

Nuevo Nextel: 413*4332

http://www.liderchancay.com/

http://www.fentap.org.pe/

viernes, junio 01, 2007

FIP condena al gobierno venezolano

Alberto Rodriguez albrobar@gmail.com

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Fecha: 01-jun-2007

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Hora: 15:34

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1/6/2007

El XXVI Congreso Mundial de la Federación Internacional de Periodistas (FIP), reunido en Moscú, aprobó hoy por unanimidad una enérgica condena a la decisión del gobierno venezolano de no renovar la concesión para las operaciones a la
planta televisiva Radio Caracas Televisión (RCTV), por considerar que afecta la libertad de expresión y la pluralidad y deja en la calle a miles de trabajadores.

La discusión sobre el cierre de la planta televisiva más antigua y más importante de Venezuela fue planteada en la plenaria de este viernes mediante un moción de urgencia del Sindicato Nacional de
Trabajadores de la Prensa (SNTP), representado por Gregorio Salazar, Secretario General, y Doris Villarroel, Secretaria de Derechos Humanos de esa organización.

Los congresistas exigen revertir la medida que determinó el cierre de RCTV e igualmente se solidarizan con los trabajadores de esa planta y con todos los periodistas de Venezuela que "hoy viven uno de sus momentos más oscuros". FIP afilia a más de 100
organizaciones sindicales de periodistas alrededor del mundo, con más de medio millón de miembros.

En el Congreso de Moscú, centrado en la lucha contra la impunidad y el futuro de la profesión, participaron más de quinientos periodistas de todo el mundo, entre delegados y observadores.

A continuación el texto de la moción aprobada por el XXVI Congreso de la FIP: Consideramos. Que en el 27 de mayo de 2007, el gobierno de Venezuela ejecutó la medida de cierre, mediante la no renovación de la concesión, a RCTV, el canal de televisión de mayor antigüedad e importancia de ese país, con
cincuenta y tres años de existencia. Es por eso que nos preocupa, puesto que la libertad de expresión, la diversidad de las visiones políticas presentes en toda sociedad democrática, la crítica y la denuncia están gravemente lesionadas en la medida que se apliquen sanciones a los medios
radioeléctricos por mantener líneas editoriales independientes.

Observamos. Que si bien los Estados tienen la facultad de administrar las concesiones para el uso del espacio radioeléctrico, esta función debe ejercerse mediante reglas claras y transparentes, con independencia de dictámenes presidenciales.

Advirtiendo. Que el cierre de RCTV se produce en el contexto de una larga serie de agresiones a medios de comunicación y periodistas en Venezuela, que superan los ochocientos (800) casos en los últimos ocho (8) años.

Consternados. Porque la no renovación de esta concesión implica el cierre de las operaciones de RCTV en su señal abierta y libre, impidiendo el ejercicio del trabajo a más de tres mil (3.000) empleados directos entre periodistas, reporteros, técnicos y demás trabajadores de la comunicación y el entretenimiento.

Alarmados. Porque el Tribunal Supremo de Justicia ha negado las acciones de amparo ejercidas por los trabajadores y ha ordenado la confiscación y militarización de las instalaciones y equipos propiedad de RCTV, ubicados a nivel nacional, reservándolos para el uso del propio Estado venezolano.

Acuerda. Condenar de la manera más enérgica el ataque sistemático, por parte del actual gobierno venezolano, a la libertad de expresión y la eliminación de RCTV como un canal de televisión libre e independiente. Declarar plena solidaridad con todos los trabajadores de RCTV y, en general, con todos los periodistas y trabajadores de la prensa de Venezuela, quienes hoy viven uno de sus momentos más oscuros Llamar a las organizaciones de derechos humanos e instituciones, que velan por los derechos universales de la libertad de expresión y del trabajo, a condenar las acciones de fuerza aplicadas en contra de RCTV y mantenerse alertas frente a la imposición de un sistema comunicacional hegemónico por parte del gobierno venezolano. Exigir al gobierno venezolano detener y revertir sus acciones contra RCTV y respetar y cumplir fielmente el régimen de libertades que se encuentra garantizado en el marco constitucional.

LA DIRECTORA DE EL ATLANTICO DENUNCIA FUERTES PRESIONES

A.R.B.I.A arbia@arbia.org

Fecha: 31-may-2007

Hora: 20:12

07-05-2007 TITULA EN SU EDICION de hoy el Semanario El Marplatense, que se edita en Mar del Plata.-
A continuación un titulo en bajada señala: Susana Alonso vive con custodia y atribuye la persecución que a diario le da al juicio de la verdad.-


Susana Alonso-comienza la nota periodística-llego a Mar del Plata para hacerse cargo de la dirección del diario El Atlántico. Sin embargo no ha podido abocarse a lo periodístico, debido a una serie de acontecimientos que sufrió desde que el medio publico las declaraciones de un ex militante montonero Eduardo El Negro Soarez, quien señalo a un abogado marplatense como el líder de la Concentración Nacional Universitaria(C.N.U.), una agrupación de derecha que trabajo previo al golpe de estado en la ciudad, A partir de allí, la directora del diario denuncio todo tipo de presiones para que no se publicaran mas las notas sobre el Juicio por la Verdad.-
El dialogo se desarrollo en los siguientes términos:
P: Desde que llego a la ciudad tuvo que vivir situaciones difíciles?
R: Lamentablemente el desafió que implicaba cambiar la realidad de este diario quedo un poco desdibujado por lo que paso a partir del 6 de marzo, cuando salio publicada nada mas que una crónica sobre los juicios por la Verdad, A partir de ese momento sufrí presiones, concretamente de un abogado de esta ciudad que no conocía. Vino a verme a la oficina de parte de alguien que tenia una vinculación comercial en ese momento con el diario, al cual yo tampoco conocía. Quiso obligarme en reiteradas oportunidades a que publicara un reportaje de cuatro paginas a una de las personas que esta acusada por varios testigos en el juicio por la Verdad, por haber colaborado con la dictadura y previo al golpe del Estado del 76.-
P::Que decía esa nota?
R: Era un reportaje que no tenia firma y decía que era hecho por el diario El Atlántico. Afirmaba que todo lo que se dice en los juicios en mentira. Algo caso infame. Me negué a publicarlo, lo eche de mi oficina, pero me siguió presionando diciendo que conocía a mi mamá, a mis amigos que sabia que yo tenia familia acá, que no entendía lo que pasaba y no sabia la importancia que esto tenia.
P: Que ocurrió a partir de entonces?
R: Sufrí distintos tipos de presiones. Nunca una amenaza directa, se ve que son muy cobardes porque nunca me llamaron directamente a mi ,pero si llamaron al diario el Buenos Aires y a la empresa y otras personas, para que a mi me sacaran de Mar del Plata.-

Luego se fueron sucediendo una serie de episodios muy raros.
Mas adelante y ante otra pregunta y denunciar que fue victima de un robo en su casa, lo que liga a todo lo que dice que le esta ocurriendo afirma "todo viene por el Juicio de la Verdad específicamente y me llama la atención que quieran hacerlo conmigo. Algún otro interés deben tener estos grupos. Pero lo mismo que publique yo, lo publico Clarín, Pagina 12, la agencia TELAM, Canal 7 y Radio Nacional y algunos medios de Mar del Plata"

También señalo Susana Alonso que la fiscalia interviniente a raíz del delito que denuncio le puso custodia.-
Alberto Castagnoli

Por: ( Redacción )v

DR CONGO Flash (police violently break up meeting of journalists in Mbuji-Mayi)

IFEX Action Alert Network alerts@ifex.org

Hora: 01-jun-2007

Fecha: 12:51

RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO: Des policiers dispersent violemment une réunion de journalistes à Mbuji-Mayi

DEMOCRATIC REPUBLIC OF CONGO: Police violently break up meeting of journalists in Mbuji-Mayi

IFEX - Nouvelles de la communauté internationale de défense de la liberté d'expression


ALERTE - RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO

Le 1er juin 2007

Des policiers dispersent violemment une réunion de journalistes à Mbuji-Mayi

SOURCE: Journaliste en danger (JED), Kinshasa

(JED/IFEX) - Une assemblée générale réunissant une centaine de journalistes a été violemment dispersée, le 31 mai 2007 à Mbuji-Mayi, capitale de la province du Kasaï Oriental (Centre de la RD Congo) par une vingtaine de policiers conduits par le commandant urbain de la Police, Jean-Claude Kabeya alias "Shegué". Des journalistes ont été battus et l'un d'eux, Luboya Nokia de la Radio Mont Carmel (RMC), a été grièvement blessé et interné à l'Hôpital Bonzola de Mbuji-Mayi. D'autres journalistes ont déclaré à Journaliste en danger (JED) avoir perdu dans ces échauffourés leur matériel de travail.

Une centaine de journalistes, tous médias confondus, s'étaient réuni en assemblée générale extraordinaire, le 31 mai à 14h30 (heure locale), au bar dit "La Primature" dans la commune de Diulu.
Cette réunion avait pour objectif, selon des informations obtenues par JED, de suspendre le coordonnateur local de l'Union de la presse du Congo (UNPC) qui se serait rendu coupable de mauvaise gestion de l'Union et de malversations financières.

Au cours de cette réunion, les journalistes ont constaté qu'il y avait des non journalistes dans la salle. Ils leurs ont demandé de sortir. C'est juste après avoir mis à la porte ces intrus, que certains journalistes ont identifié comme étant des agents des services de sécurité, que deux Jeeps de la police ont fait irruption au bar. Le commandant de l'expédition a ordonné à ses hommes de disperser tous les journalistes de la salle.

JED est abasourdie par cette intervention illégale de la police pour disperser une réunion pacifique et la violence gratuite dont ont fait preuve les policiers. JED rappelle que le droit d'association et de réunion est garanti par la Constitution de la RD Congo Afin de mettre fin à l'impunité dont bénéficient des policiers, JED demande au Ministre de l'Intérieur, décentralisation et sécurité du territoire, le général Denis Kalume Numbi, et à l'Inspecteur général de la Police, le général Daniel Katsuva, de déférer devant la justice le commandant Jean-Claude Kabeya dit "Shegué" et tous les policiers ayant pris part à cette énième bavure policière qui a violé des droits garantis aux citoyens par la Constitution de la République.

Pour tout renseignement complémentaire, veuillez contacter D. M'Baya Tshimanga, Président, JED, B.P. 633 Kinshasa 1, République démocratique du Congo, tél: +243 819 929 323, +243 999 996 353, +243 819 898 076, téléc: +44 207 504 3544, courrier électronique:
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JED est responsable de toute information contenue dans cette alerte. En citant cette information, prière de bien vouloir l'attribuer à JED.


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ALERT - DEMOCRATIC REPUBLIC OF CONGO

1 June 2007

Police violently break up meeting of journalists in Mbuji-Mayi

SOURCE: Journaliste en danger (JED), Kinshasa

(JED/IFEX) - A gathering of some 100 journalists on 31 May 2007 in Mbuji-Mayi, capital of East Kasai province, was violently broken up by police led by Commander Jean-Claude Kabeya, also known as "Shegué". Journalists were beaten and one of them, Luboya Nokia of Radio Mont Carmel, was seriously injured and taken to Bonzola Hospital in Mbuji-Mayi. Other journalists told JED that they lost work-related equipment during the attack.

About 100 journalists representing all types of media outlets had gathered for an extraordinary general assembly on 31 May at 2:30 p.m. (local time) at a bar, "La Primature", in the Diulu neighbourhood. According to information obtained by JED, the goal of the meeting was to suspend the local coordinator of the Congo Press Union (Union de la presse du Congo, UNPC), who was reportedly guilty of badly managing the Union and of misappropriating funds.

During the meeting, the journalists noticed that there were non-journalists in the room, whom they asked to leave. It was just after these intruders, who had been identified as security service agents, were expelled from the meeting that police, who had arrived in two Jeeps, burst into the bar. The police commander ordered his men to disperse all the journalists in the room.

JED is shocked by this illegal police intervention to break up a peaceful meeting and by the gratuitous violence used by the officers. JED notes that the right to association and assembly is guaranteed by the country's Constitution.

To put an end to the impunity that police officers enjoy, JED asks the minister of the interior, decentralisation and territorial security, General Denis Kalume Numbi, and the general inspector of police, Daniel Katsuva, to prosecute Commander Jean-Claude Kabeya and all the police officers who took part in yet another shocking police operation, which violated the rights guaranteed to citizens by the Constitution of the republic.

For further information, contact D. M'Baya Tshimanga, President, JED, B.P. 633 Kinshasa 1, Democratic Republic of Congo, tel: +243 819 929 323, +243 999 996 353, +243 819 898 076, fax: +44 207 504 3544, e-mail:
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KYRGYZSTAN Threat (explosion destroys newspaper archives)

IFEX Action Alert Network alerts@ifex.org

KYRGYZSTAN: Explosion destroys newspaper archives

KIRGHIZISTAN: Explosion dans un immeuble abritant deux rédactions

IFEX - News from the international freedom of expression community

ALERT - KYRGYZSTAN

1 June 2007

Explosion destroys newspaper archives

SOURCE: Reporters sans frontières (RSF), Paris

(RSF/IFEX) - Reporters Without Borders said it was "alarmed by the tense situation" in recent weeks in Kyrgyzstan after an explosion damaged the offices of two newspapers in the country's second city, Osh, on 30 May 2007. It called on the government to thoroughly investigate the blast and take steps to protect the media if it proved to be a criminal attack.

Nearly all the archives of the Russian-language paper "Ekho Osha" and the Uzbek-language "Osh Saodasi" were lost in the explosion, which came soon after a woman was seen to enter the building with a bag which she left there. Police have begun an enquiry. Three journalists have been physically attacked in Kyrgyzstan so far this year.

For further information, contact Elsa Vidal at RSF, 5, rue Geoffroy Marie, Paris 75009, France, tel: +33 1 44 83 84 67, fax: +33 1 45 23 11 51, e-mail:
europe@rsf.org , Internet: http://www.rsf.org


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ALERTE - KIRGHIZISTAN

Le 1er juin 2007

Explosion dans un immeuble abritant deux rédactions

SOURCE: Reporters sans frontières (RSF), Paris

(RSF/IFEX) - Reporters sans frontières a appris qu'une explosion avait eu lieu, le 30 mai 2007, en plein centre de Osh, la seconde ville du Kirghizistan, d'un immeuble abritant la rédaction des journaux "Ekho Osha" (en russe) et "Osh Saodasi" (en ouzbek).

Il n'y a pas eu de victimes, mais la destruction presque totale des archives des journaux représente une perte considérable. Les causes de l'explosion sont encore inconnues. Des témoins rapportent avoir vu une femme, peu de temps avant l'explosion, entrer dans l'immeuble avec un sac, resté à l'intérieur. Une enquête a été ouverte pour déterminer avec précision les raisons, criminelles ou non, de l'explosion.

"Reporters sans frontières est alarmée par le climat de tension qui règne depuis plusieurs semaines dans le pays. Il est important que les autorités enquêtent avec diligence et rigueur sur cette explosion. Si elle s'avère être d'origine criminelle, des mesures devront être prises pour assurer la sécurité des médias", a déclaré l'organisation. En effet, depuis le début de l'année, trois journalistes ont été agressés.

Pour tout renseignement complémentaire, veuillez contacter Elsa Vidal, RSF, 5, rue Geoffroy Marie, Paris 75009, France, tél: +33 1 44 83 84 67, téléc: +33 1 45 23 11 51, courrier électronique: europe@rsf.org, Internet: http://www.rsf.org/

RSF est responsable de toute information contenue dans cette alerte. En citant cette information, prière de bien vouloir l'attribuer à RSF.

REPORTE 393 - OBSERVATORIO LATINOAMERICANO PARA LA LIBERTAD DE EXPRESION - 01 de junio 2007

Editado por: Equipo de Redacción OLA
-
01 de junio 2007

MÉXICO
DIARIO DE SONORA SE VE OBLIGADO A CERRAR LUEGO DE RECIBIR DOS ATENTADOS

El 24 de mayo de 2007 se tomó la decisión de cerrar temporalmente el periódico "Cambio" del Estado de Sonora, que en un mes fue atacado dos veces con granadas de fragmentación que han causado daños materiales. El director de "Cambio", Roberto Gutiérrez Torres, dijo ante los medios de comunicación que la decisión de cerrar la tomó Mario Vázquez Raña, dueño del periódico.
Mencionó que el cierre es por un mes, hasta que las condiciones estén para que en Sonora pueda ejercerse el periodismo sin que exista riesgo alguno. También se sabe que los trabajadores recibieron un mes de sueldo por adelantado ante la decisión del cierre.
Gutiérrez Torres lamentó que las autoridades locales no hayan proporcionado apoyo en la seguridad de "Cambio", aunque otros medios sí cuentan con él. Explicó que las investigaciones adelantadas por la Procuraduría General de la República revelan que las granadas utilizadas eran del tipo M-61. El director comentó que lo único que quiere es proteger la seguridad de sus empleados y que no quiere que ninguno de sus trabajadores tenga que arriesgar su vida por ejercer su profesión.
El hecho de que han ocurrido dos ataques en el paso de un solo mes demuestra que no hay garantías de seguridad para "Cambio", y las investigaciones no han dado resultados.
ARROJAN CABEZA DE UN COMISARIO EN LAS PUERTAS DE UN DIARIO
El último 28 de mayo, delincuentes no identificados arrojaron la cabeza cercenada del comisario rural Terencio Sastré Hidalgo en la puerta de las instalaciones del periódico Tabasco Hoy.
Según trascendió, la víctima habría sido asesinada por una banda de narcotraficantes. En la cabeza tenía atado un mensaje que decía "por haber hecho una llamada anónima a las autoridades, me pasó esto".
Los directivos del diario solicitaron al presidente de la República, Felipe Calderón, y al gobernador Andrés Granier Melo garantías personales para los periodistas.


PERÚ
DETIENEN POR 48 HORAS A PERIODISTAS SIN MOTIVO JUSTIFICADO
Los periodistas, César y Limberg Mori Jiménez, director y segundo jefe del área de investigación del periódico "El Semanario", en la ciudad de Huánuco, denunciaron haber permanecido detenidos por 48 horas.
En comunicación con la Asociación Nacional de Periodistas del Perú (ANP) César Mori informó que la policía de Huánuco presentó una orden de detención en su contra al momento de la intervención.
El comunicador indicó que permanecieron en la carceleta del Poder Judicial desde el sábado 26 de mayo hasta la mañana del lunes 28.
"El día de la detención nuestro abogado, Ernesto Campos Salazar, interpuso un Habeas Corpus que no resolvió en su debido momento el juez de turno del Segundo Juzgado Penal de Huánuco, Wilfredo Ramos Pino. Por eso estuvimos detenidos 48 horas", explicó Mori.
El periodista aclaró que la orden de detención, dictada por la juez del Cuarto Juzgado Penal de Huanuco, Vilma Flores León, solo implicaba que rindieran su manifestación.
"Sin embargo permanecimos en la carceleta hasta el lunes 28", remarcó César Mori, quien añadió que la querella la interpuso José Berau Barrantes, representante de la Universidad de Huánuco, luego de que su medio periodístico denunció presuntas irregularidades en la referida casa de estudios.
"Esta es la quinta querella que nos interponen sobre los mismos hechos. Las anteriores ya han sido archivadas en su respectivo momento", afirmó el comunicador.


AMENAZAN E IMPIDEN TRABAJAR A REPORTEROS TELEVISIVOS EN PUNO
Los periodistas Mario Soria y Jorge Zuñiga, reportero y director, respectivamente, del programa "La Verdad Sin Pelos en la Lengua" que se transmite por el canal 11 TV de la Universidad de Puno, denunciaron que fueron agredidos el lunes 28 de mayo.
En comunicación con la Asociación Nacional de Periodistas del Perú (ANP) Jorge Zúñiga, informó que Soria fue retenido por el relacionista público de la empresa Electro Puno.
"Cuando llegué al lugar de los hechos, al periodista ya le habían quitado la cámara filmadora por intentar tomar declaraciones de él, y solicitar una entrevista con el gerente general de esa empresa Lucio Vargas", explicó Zúñiga.
El comunicador aseguró que el relacionista público lo amenazó antes de retirarse del lugar de los hechos.
"Compadre borra lo que han grabado de la cinta...yo soy una m... no te pongas soberbio...", contó el periodista, quien sostuvo que interpondrán la denuncia penal ante el Ministerio Público, acusando al relacionista público Alberto Rodríguez de robo calificado".


RUSIA- VENEZUELA
CONGRESO MUNDIAL DE LA FIP CONDENA CIERRE DE RCTV

El XXVI Congreso Mundial de la Federación Internacional de Periodistas (FIP), reunido en Moscú, aprobó hoy por unanimidad una enérgica condena a la decisión del gobierno venezolano de no renovar la concesión para las operaciones a la planta televisiva Radio Caracas Televisión (RCTV), por considerar que afecta la libertad de expresión y la pluralidad y deja en la calle a miles de trabajadores.
La discusión sobre el cierre de la planta televisiva más antigua y más importante de Venezuela fue planteada en la plenaria de este viernes mediante un moción de urgencia del Sindicato Nacional de Trabajadores de la Prensa (SNTP), representado por Gregorio Salazar, Secretario General, y Doris Villarroel, Secretaria de Derechos Humanos de esa organización.
Los congresistas exigen revertir la medida que determinó el cierre de Radio Caracas Televisión e igualmente se solidarizan con los trabajadores de esa planta y con todos los periodistas de Venezuela que "hoy viven uno de sus momentos más oscuros".


VENEZUELA
LA POLICÍA MILITAR RETUVÓ A REPORTEROS DE GLOBOVISIÓN
Un equipo de reporteros de la televisora Globovisión fueron retenidos durante más de una hora en las instalaciones de la Policía Militar.
Los colegas, representados por la periodista Delvalle Canelón, contaron que acudieron a ese lugar para cubrir la reunión entre los ministerios de Defensa y de Ciencia y Tecnología. A la salida de dicho acto fueron retenidos por los guardias.
A pesar de que los comunicadores sociales cumplieron con identificarse, igual se les retuvo. Hasta que uno de los reporteros se comunicó con gente allegada al ministro de Defensa.
Las autoridades militares arguyeron que se trato de un error, aunque no se descarta que se trate de una forma de amedrentamiento debido al clima hostil que viven los medios de comunicación de oposición, luego del cierre arbitrario de Radio Caracas Televisión (RCTV).


Esta información es responsabilidad del Observatorio Latinoamericano para la Libertad de Expresión de la Federación Latinoamericana de Trabajadores de la Comunicación Social (FELATRACS).
Para mayor información agradeceremos contactarnos vía e-mail:
felatracs@felatracs.org
; web: www.felatracs.org o a los teléfonos: (51 1) 4270687, fax (51 1) 4278493

Alerta Perú (Puno)-AGREDEN A PERIODISTAS

Alerta Perú (Puno)-

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AGREDEN A PERIODISTAS

Los periodistas Mario Soria y Jorge Zuñiga, reportero y director, respectivamente, del programa "La Verdad Sin Pelos en la Lengua" que se transmite por el canal 11 TV de la Universidad de Puno, denunciaron que fueron agredidos el lunes 28 de mayo.En comunicación con la Asociación Nacional de Periodistas del Perú (ANP) Jorge Zúñiga, informó que Soria fue retenido por el relacionista público de la empresa Electro Puno. "Cuando llegué al lugar de los hechos, al periodista ya le habían quitado la cámara filmadora por intentar tomar declaraciones de él, y solicitar una entrevista con el gerente general de esa empresa Lucio Vargas", explicó Zúñiga. El comunicador aseguró que el relacionista público lo amenazó antes de retirarse del lugar de los hechos. "Compadre borra lo que han grabado de la cinta...yo soy una m... no te pongas soberbio...", contó el periodista, quien sostuvo que interpondrán la denuncia penal ante el Ministerio Público, acusando al relacionista público Alberto Rodríguez de robo calificado".

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ACCIÓN RECOMENDADA

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Se solicita remitir apelaciones al titular del Ministerio del Interior, para que de oficio dispongan a quien corresponda la investigación inmediata del hecho, la individualización de responsabilidades y la sanción que prevea la ley a quienes resulten responsables.

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Señor

LUIS ALVA CASTRO

Ministerio del Interior

Fax (51 1) 2257234 E-mail: ministro@mininter.gob.pe

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Esta alerta es responsabilidad de la Asociación Nacional de Periodistas del Perú.

Para mayor información contactar con Roberto Mejía Alarcón, responsable de la Oficina de los Derechos Humanos del Periodista; Zuliana Lainez y Carlos Juárez Córdova.

Jirón Huancavelica 320, oficina 504, Lima-Perú. Tel (511) 4270687. Fax (51 1) 4278493. Web: www.anp.org.pe; E-mail: anp@amauta.rcp.net.pe

Alerta Perú (Huánuco)-DETIENEN A PERIODISTAS

Alerta Perú (Huánuco)

DETIENEN A PERIODISTAS


Los periodistas, César y Limberg Mori Jiménez, director y segundo jefe del área de investigación del periódico "El Semanario", en la ciudad de Huánuco, denunciaron haber permanecido detenidos por 48 horas.

En comunicación con la Asociación Nacional de Periodistas del Perú (ANP) César Mori informó que la policía de Huánuco presentó una orden de detención en su contra al momento de la intervención.

El comunicador indicó que permanecieron en la carceleta del Poder Judicial desde el sábado 26 de mayo hasta la mañana del lunes 28.

"El día de la detención nuestro abogado, Ernesto Campos Salazar, interpuso un Habeas Corpus que no resolvió en su debido momento el juez de turno del Segundo Juzgado Penal de Huánuco, Wilfredo Ramos Pino. Por eso estuvimos detenidos 48 horas", explicó Mori.

El periodista aclaró que la orden de detención, dictada por la juez del Cuarto Juzgado Penal de Huanuco, Vilma Flores León, solo implicaba que rindieran su manifestación.

"Sin embargo permanecimos en la carceleta hasta el lunes 28", remarcó César Mori, quien añadió que la querella la interpuso José Berau Barrantes, representante de la Universidad de Huánuco, luego de que su medio periodístico denunció presuntas irregularidades en la referida casa de estudios.

"Esta es la quinta querella que nos interponen sobre los mismos hechos. Las anteriores ya han sido archivadas en su respectivo momento", afirmó el comunicador.


Esta alerta es responsabilidad de la Asociación Nacional de Periodistas del Perú.
Para mayor información contactar con Roberto Mejía Alarcón, responsable de la Oficina de los Derechos Humanos del Periodista; Zuliana Lainez y Carlos Juárez Córdova. Jirón Huancavelica 320, oficina 504, Lima-Perú. Tel (511) 4270687. Fax (51 1) 4278493. Web: www.anp.org.pe; E-mail:
anp@amauta.rcp.net.pe

Newsletter O Jornalista

Parabéns! Hoje é o Dia da Imprensa no Brasil
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"Não há democracia sem Liberdade de Imprensa e não há Liberdade de Imprensa sem jornalistas respeitados e valorizados!"
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Hoje (01/06), comemoramos o Dia da Imprensa no Brasil. Parabéns! Para marcar a data, a Federação Nacional dos Jornalistas (FENAJ) lança o relatório "Violência e Liberdade de Imprensa no Brasil" referente a 2006. O documento registra informações sobre 68 casos de violência e cerceamento à liberdade de imprensa e seis casos sobre coberturas de risco, arquivamento de processo e julgamentos no país no ano passado.
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Produzido pela Comissão Nacional de Direitos Humanos da FENAJ, sob a coordenação da jornalista Carmen Silva, o Relatório debruçou-se sobre denúncias e informações recebidas e divulgadas principalmente por sindicatos de jornalistas do Brasil e pela própria FENAJ, além de registros do site "O Jornalista" e de outros veículos. O relatório com todos os dados está disponível no site da FENAJ.
Anteriormente o Dia da Imprensa era comemorado em 10 de setembro, em alusão à primeira edição da Gazeta do Rio de Janeiro, em 1808. O periódico expressava a visão oficial da corte portuguesa, que proibia a circulação de jornais e livros no Brasil para impedir o ingresso de idéias libertárias no país.
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Mas em 1999, através de um projeto foi reconhecido oficialmente que o pioneiro da imprensa brasileira foi o Correio Braziliense, que foi lançado em 1º de junho de 1808. O jornal era produzido em Londres, pelo jornalista gaúcho Hipólito José da Costa e entrava clandestinamente no país, transportado nos porões dos navios que traziam escravos e mercadorias.
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A imprensa brasileira nasceu no exílio, defendendo a República, em pleno regime monárquico, e o abolicionismo no auge da escravidão. Uma imprensa que nasceu guerreira e vitoriosa em suas teses por um Brasil melhor e mais justo.